
L’essentiel
Au départ était un accessoire, imaginé par Luc Foin et Stéphane Lebeau. Deux épicuriens tous-terrains qui au détour d’une aventure sans lendemain avec un couteau de resto aussi coupant qu’un chamallow, eurent l’idée d’une nouveauté.
Le premier couteau nomade issu d’un alliage unique : qualité et extrême légèreté. Une plume d’acier conçue pour trancher les mets les plus robustes, de la manière la plus délicate. Petit comme un stylo, fort comme le plus costaud des couteaux.
Facile à porter, à utiliser, à adopter. Car Deejo va au-delà du couteau en s’offrant la possibilité d’être personnalisé. De tatouer sa lame, comme on tatouerait son bras d’un symbole qui nous est cher. Et le Deejo devient unique, encore plus beau, un objet perso que l’on porte comme une seconde peau.
C’est l’histoire d’un objet, tout sauf accessoire. Qui porterait sur sa lame,
l’âme de son propriétaire.
Poids et lame
Poids plume et force de l’épée, le concept de Deejo repose sur un couteau de poche aussi efficace que léger, aussi facile à utiliser qu’à transporter.
Trois grammages exclusifs - 15g, 27g et 37g – d'un acier brillant comme un miroir ou teinté des nuances mattes du titane, proposés dans trois gammes aux matériaux variés.
Deejo, c’est l’efficacité au service de la praticité, à choisir selon son usage, ses goûts ou sa personnalité.
Dans la peau
Tatouer son couteau Deejo, comme l’on marquerait sa peau, c’est offrir à cet objet déjà très personnel, une autre dimension : son identité.
Grâce à une technique de fine gravure de la lame, du manche ou des deux corps à la fois, le couteau peut arborder une iconographique typique du tatouage traditionnel : Latino, Sailor, Tribal, Géométrique... Et que vous décidiez ou non de lui faire porter votre nom, ce Deejo vous aura dans la peau.
A découvrir et choisir dans la gamme de tatouages Deejo.

